portrait
Dr Francis Lemay, Ph.D., psychologue, fondateur et directeur de Psychologie Déploiement

Je suis détenteur d’un doctorat en psychologie clinique de l’Université Laval (Ph.D., Recherche et Intervention), acquis en août 2014, après 8 années de formation universitaire, dont 7 années de travail en relation d’aide. Je suis membre de l’Ordre des psychologues du Québec et je me spécialise dans l’utilisation de la psychothérapie d’approche cognitive et comportementale contemporaine (voir section Approche), auprès d’adultes et d’adolescents.

Ma thèse de doctorat, complétée dans un laboratoire de neurosciences, m’a permis d’étudier les bases biologiques de certains comportements problématiques (anxiété, consommation d’alcool, rigidité cognitive) chez le rongeur.

Au cours de ma formation, j’ai développé une expertise dans l’intervention auprès de personnes souffrant de troubles anxieux, de troubles de l’humeur (dont la dépression majeure et le trouble bipolaire), de troubles alimentaires, d’insomnie et de troubles de la personnalité. J’ai eu la chance de pratiquer au Service de consultation de l’École de psychologie, à l’Université Laval, ainsi qu’au Programme d’intervention pour les troubles du comportement alimentaire (PITCA), au CHUL. J’ai complété un internat d’une année à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (anciennement Centre hospitalier Robert-Giffard), à la Clinique des troubles de l’humeur et la Clinique des troubles sexuels.

J’ai commencé à travailler en bureau privé en janvier 2014, sous la supervision de Sophie Côté, Ph.D., psychologue (www.psymomentum.com). J’ai également travaillé à la Clinique de psychologie de Neufchâtel (www.psychologieneufchatel.ca) et au Centre de psychologie Limoilou (www.psychologielimoilou.ca). Je suis entièrement autonome dans ma pratique depuis septembre 2014.

Je suis occasionnellement chargé de cours à l’Université Laval et j’ai également offert des conférences pour certains organismes (AFSCC, FFAPAMM, RIMAS, ACBS-Q) et dans des universités (Université du Québec à Trois-Rivières, Université Laval). Je suis membre en règle de l’Association pour une science comportementale contextuelle (ACBS), ainsi que de sa branche francophone (AFSCC), en plus de siéger depuis 2014 sur le conseil d’administration de sa branche québécoise (ACBS-Q). Je suis également membre fondateur de l’Association canadienne des thérapies cognitives et comportementales (ACTCC).

Je tiens à utiliser dans ma pratique des approches qui sont validées par la recherche scientifique, tout en accordant une importance capitale au lien de collaboration interpersonnel qui se crée avec les gens qui viennent me consulter.

Nous avons choisi comme logo pour Psychologie Déploiement la grue en origami. Plusieurs raisons motivent le choix du logo, tout comme celui du nom de la clinique. La première définition du verbe Déployer, selon le dictionnaire Larousse en ligne, est « Étendre, développer, ouvrir ce qui était plié ou roulé : déployer ses ailes ». La seconde est « Manifester quelque chose, l’étaler dans toute son intensité : montrer, manifester : déployer une activité fébrile ». Nous croyons que ce terme représente élégamment la réalité d’un processus thérapeutique de qualité : une personne en thérapie pourra généralement se « déplier » de sur ses difficultés, s’ouvrir à son monde et se libérer de ses problèmes afin de mieux faire usage de ses ressources. Ceci lui permettra de concentrer ses énergies sur les activités, projets, choses et personnes qui lui tiennent réellement à cœur et ainsi donner davantage de sens à sa vie.

En ce qui concerne le logo, tout d’abord, l’une des premières images qui vient en tête lorsqu’on songe au terme déploiement, c’est le déploiement d’ailes, qu’on associe généralement à un oiseau. L’oiseau est associé à la liberté, à la vie et au bien-être, d’où le choix de la grue. En Chine et au Japon, la grue est un symbole de longévité, de santé et de sagesse, que l’on souhaite généralement cultiver lorsqu’on s’investit dans une démarche de psychothérapie.

Pour ce qui est de l’origami, ce dernier peut avoir plusieurs significations. On peut le voir comme la nécessité de se pencher sur soi et de travailler afin d’arriver à résoudre ses problèmes. On va souvent dire, en psychologie, que le moindre détail est important : c’est également le cas dans la pratique de l’origami. Il est aussi possible de considérer que le travail en thérapie, bien qu’ardu, n’est pas forcément une besogne : il peut comporter des aspects ludiques. On peut enfin voir l’origami comme la possibilité de changer : il est toujours possible de déplier la feuille de papier, de la remettre à plat et de recommencer son travail, pour arriver à une nouvelle forme. Le travail en thérapie se fait parfois à tâtons et un processus de type « essai-erreur » est souvent nécessaire afin d’arriver aux résultats escomptés.